Un débrayage a été organisé par FO et la CGT mardi sur le site d’AIRBUS / T : 02.28.54.80.00 de Saint Nazaire. 500 salariés ont arrêté le travail afin de protester notamment contre le badgeage en tenue de travail. Une question qui est en cours de négociation à Toulouse. Le débrayage a duré près d’une heure. Les négociation se déroulaient hier. www.airbus.com
La société SFCMM / T : 02.51.80.67.00 (siège à Saint Herblain), sous-traitant industriel dans les domaines du façonnage et de la découpe de tubes et profilés a ouvert il y a six mois une agence commerciale à Meyzieux, en région lyonnaise. Le groupe a porté sur son choix sur cette région car Rhône-Alpes est le premier bassin métallurgique français et que le marché y est très atomisé. L’agence lyonnaise de SFCMM réalise déjà un tiers de son objectif en terme de prises de commandes. Le dirigeant n’exclut pas le développement d’une antenne de fabrication locale si besoin était. www.sfcmm.fr
La société AFI DISTRIBUTION (siège à La Chapelle Basse Mer) a été lancée en 2013 pour proposer des équipements pour les usines et ateliers en chaussures de travail, auto-laveuses, casques et chariots. Elle a lancé la gamme Aquavitex il y a un an qui propose des vêtements de travail. Le choix s’est tourné vers les vêtements de travail à l’occasion d’une rencontre entre Jean-Philippe Aunis et un ostréiculteur qui se plaignait de l’usure rapide des vêtements de travail. L’épaisseur et la souplesse des matières ont fait l’objet d’une étude approfondie, les formes ont changé. La société distribue ses produits via son site internet et en direct. La partie export a été confiée à un spécialiste. Le secteur de la mer a été le premier a se tourner vers la marque et l’agroalimentaire a suivi. www.aquavitex.com
La société CLEANSAILS (siège à Saint-Brevin-les-Pins), spécialisée dans la construction navale, vient de remporter un appel d’offres de la Marine nationale. Il porte sur la conception de nouveaux bateaux antipollution. 6 navires sont commandés pour le Centre d’expertises pratiques de lutte antipollution. Il s’agira de types landing-craft en aluminium de 7,50 m. La société compte une dizaine de personnes avec des salariés et des indépendants. Jusqu’à présent elle concevait les bateaux et les faisait construire par d’autres chantiers. Les 6 en questions seront les premiers produits directement. La société doit s’installer dans ses locaux actuellement en construction. www.cleansails.fr
La COMMUNE D’AVRILLE / T : 02.41.69.55.92 demande au gérant du château de la Perrière de payer sa redevance. En effet, le château, implanté sur le golf d’Avrillé, n’a pas payé depuis deux ans. L’arriéré atteint 70.000 € et les élus ont pris la décision de l’exiger. Le restaurant a ouvert dans le château en 2008 avec la promesse du gérant de construire une résidence hôtelière. Il devait s’agir d’une résidence de luxe d’une centaine de suites, avec piscine et spa. Or, depuis, rien n’a été construit. www.ville-avrille.fr
La SOCIETE D’ECONOMIE MIXTE DES TRANSPORTS EN COMMUN DE L’AGGLOMERATION NANTAISE / T : 02.51.81.77.00, la Semitan, se dote de nouveaux bus électriques. Elle comptait déjà des bus au gaz et des hybrides. Le busway électrique sera exploité sur la ligne 4. Lancée à la base pour 17.000 voyageurs attendus, la ligne en compte 37.000. Il faut donc l’augmenter et Nantes métropole veut le faire dans le cadre de sa transition énergétique. Il s’agira de bus de 24 m qui pourront recevoir jusqu’à 150 personnes contre 18 m pour 110 jusqu’ici. Le rechargement se fera à chaque arrête avec une borne d’alimentation. Cela va permettre l’économie de plus de 1.300 tonnes de CO2 par an. 43 M€ seront investis pour l’achat des bus, la pose des systèmes électriques et les aménagements. L’entrée en circulation est prévue pour 2018. www.tan.fr
La société NOVOFERM / T : 02.40.78.69.00 (siège à Machecoul), spécialisée dans les portes de garage, portes automatiques et portes souples, portes coupe-feu métalliques et vitrées, peut être optimiste en ce début d’année. En effet, elle a remporté un contrat avec STX / T : 02.51.10.91.00 (siège à Saint Nazaire) l’an dernier et elle voit les commandes affluer. La société a été créée en 1958 et compte au total 650 salariés dont 250 au siège. Les commandes ont augmenté de 5 % l’an dernier. La société a traversé plusieurs années difficiles en raison de la crise du bâtiment et de la baisse du nombre de permis de construire accordés. Le contrat avec STX est prévu pour durer jusqu’en 2018 et porte sur la fabrication de plafonds de cabines. Une croissance de 5 % des activités est attendue pour cette année. www.novoferm.fr
La boutique Neoshop, liée à LAVAL MAYENNE TECHNOPOLE / T : 02.43.49.75.00, spécialisée dans la vente de produits de nouvelle start-up et dans leur accompagnement, poursuit son développement. En effet, elle a été créée en 2013 et se déploie a l’international. Elle avait déjà participer à des événements au Royaume Uni et en Belgique avec des boutiques éphémères dès 2014 et à Paris en décembre. Elle se tourne maintenant vers l’Amérique du Nord avec l’ouverture, en septembre prochain, d’une boutique à Montréal. Ce projet fait suite à la venue d’un entrepreneur québécois à LMT dans le cadre d’une thèse. C’est finalement lui qui sera à la tête de la boutique. Elle proposera les innovations du Québec et du Canada. Des produits de Laval lui seront aussi envoyés. D’autres villes, en Italie ou en Allemagne, sont intéressées par le concept. www.neoshoplaval.fr
La tension est forte sur le site de la société DATYS, spécialisée dans les films d’emballage, à Velluire. Les salariés sont dans leur troisième semaine de blocage et vendredi, la visite du repreneur a demandé l’intervention des gendarmes. Ce dernier est entré sur le site en coupant la chaîne installée pour le fermer vers 22 h. Ainsi, le repreneur ne dispose que du jugement du tribunal de commerce et pas du certificat d’urbanisme obligatoire. Il a du repartir. Les salariés sont toujours en préavis de licenciement. Ils attendent toujours la portabilité de la mutuelle pendant un an. www.datys.fr
Le site de la société PLASTIC OMNIUM de Laval, spécialisé dans la fabrication de réservoirs pour l’automobile, fermera ses portes en août provoquant le licenciement de 93 personnes. Dans ce cadre des projets de réemploi du site sont à l’étude. Ainsi, des démarches sont engagées afin de mettre en place des études menant à l’implantation d’un ou plusieurs projets de réemplois du site industriel. La décision de fermeture du site est brutale bien qu’elle se faisait menaçante depuis un moment. Le but maintenant pour les salariés est d’être accompagnés et reclassés dans les meilleures conditions.
