Pour AMIENS METROPOLE / T : 03.22.97.40.40, l’année 2016 sera l’occasion d’engager plusieurs chantiers de rénovation ou de construction de ses équipements sportifs. Sont notamment concernés : le stade Moulonguet, le stade Emile-Guégan, la future piscine Vallerey et le stade Charassain. www.amiens.fr
Au Touquet, dans le Pas-de-Calais, des négociations seraient en cours entre le groupe Boissonnas, propriétaire de l’ HOTEL WESTMINSTER / T : 03.21.05.48.48, et le groupe Barrière, déjà implanté au Touquet avec son casino, et qui souhaiterait acquérir l’établissement. Si le rachat venait à se concrétiser, la direction de l’hôtel assure que tous les salariés (une centaine) seraient repris. De son côté, le groupe Boissonnas souhaiterait se concentrer d’avantage sur ses activités liées au golf. www.westminster.fr www.lucienbarriere.com
Du côté de l’usine VALLOUREC TUBES FRANCE / T : 02.32.82.28.28 de Déville-lès-Rouen, l’intersyndicale CFDT/CFE-CGC/CGT redoute de nouvelles pertes d’emplois. Les syndicats craignent notamment l’annonce de la fermeture du laminoir, laquelle pourrait engendrer plus de 200 suppressions de postes au lieu des 109 déjà prévues. Pour rappel, jeudi 14 janvier, le groupe VALLOUREC / T : 01.49.09.35.00 (siège à Boulogne-Billancourt, 92) a annoncé le report du PSE engagé au mois d’octobre dernier. Confrontée à une situation économique de plus en plus dégradée depuis plusieurs mois, le groupe présentera une nouvelle étude de scénarios d’ici la mi-février. Parallèlement, le Ministre de l’Economie Emmanuel Macron a annoncé qu’il organiserait d’ici 15 jours une nouvelle réunion avec les différents acteurs du dossier. www.vallourec.com
La société GRANDRY / T : 02.43.95.04.99 (siège à Sablé-sur-Sarthe), spécialisée dans la fonderie, veut poursuivre son développement. La société a pour but de renforcer sa production. Elle a été cédée à POCLAIN / T : 03.44.40.77.77, spécialisée dans les transmissions hydrauliques, l’an dernier. Le but est de produire 50 % de pièces en plus pour 2019. Ainsi, la production pourrait atteindre 9.000 tonnes de pièces de fonderie, ce qui ferait 3.000 tonnes de plus que l’an dernier. La société a été créée en 1848. Pour parvenir à ses fins, la société se modernise avec des investissements importants. Le site sera rénové, la sécurité et les conditions de travail seront améliorées. Une imprimante 3D pourrait être utilisée pour fabriquer des pièces. www.grandry-technologies.fr
Les ventes d’eau en bouteille ont progressé de 5,4% en valeur en 2015 tous circuits confondus, selon des chiffres du groupe DANONE. Pour la première fois en 15 ans, elles ont dépassé celles des colas, avec une part de marché 21% dans le segment des boissons sans alcool. La taxe sur les sodas, qui a pesé sur les ventes de ces boissons depuis 2012, et la canicule l’an dernier, expliquent notamment ce boom des ventes. Le marché de l’eau en bouteille est dominé par CRISTALINE (siège du GIE à Saint-Yorre /03) en volume, mais par EVIAN / T : 04.50.84.80.00 (siège à Evian-les-Bains /74) en valeur. En effet, Evian réalise deux fois moins de ventes que Cristaline, mais elle est trois fois plus chère.
Depuis Beauvais, LA BROSSERIE FRANCAISE / T : 09.60.38.47.66, société qui fabrique des brosses à dents made in France vendues sous la marque Bioseptyl, vient de lancer un nouveau modèle de brosse à dents produit intégralement à partir de matériaux recyclés. Parallèlement, l’entreprise qui emploie 28 salariés vient également de lancer un dentifrice bio baptisé DentiFrance et lancera une version spéciale enfants au mois d’avril : Dentifraise. Autre projet, enfin, le lancement d’une brosse à cheveux de luxe et d’une nouvelle marque maison. www.bioseptyl.fr
Le champignon est au centre d’une lutte menée par les chercheurs et les industriels de Bretagne et des Pays de la Loire. C’est le Penicillium roqueforti, utilisé pour certains formages persillés, qui colonise d’autres produits laitiers, sur lesquels il a des effets esthétiques indésirables. Le champignon n’a rien de dangereux au niveau sanitaire. Des industriels mettent en place des outils de brossage des fromages et de contrôle des flux d’air. Le projet de recherche Profil travaille sur la non-prolifération de ce champignon. Il est financé par la BRETAGNE / T : 02.99.27.10.10 et les PAYS DE LOIRE. Il a été lancé en 2004 et doit se prolonger jusqu’en 2020. Il porte sur des études sur un antifongique industrialisable. Il est coordonné par Laurence Abraham, responsable R&D chez ENTREMONT / T : 02.98.76.55.00
Le groupe jurassien CIFC – CHARPENTES INDUSTRIELLES FRANCHE COMTE – GROUPE CLEMENT / T : 03.84.66.31.60 (siège à Arbois) va s’implanter à Mamers, commune à cheval sur les départements de l’Orne et de la Sarthe, avec l’ambition de se développer dans le quart nord-ouest. La nouvelle entreprise ALTO, spécialisé dans la construction de charpentes en bois, va s’installer sur l’ex-site de Vercelletto. Elle y disposera de 4.000 m² pour commencer. Une douzaine de salariés seront recrutés dans un premier temps, puis jusqu’à une trentaine à terme. L’entreprise pourrait alors acquérir 15.000 m² supplémentaires sur le site. www.cifc.fr
Vendredi 15 janvier, la CAVE DES VIGNERONS DE BUXY / T : 03.85.92.61.75 (Buxy) a été relaxée par le tribunal correctionnel de Chalon-sur-Saône. Les Douanes réclamaient 9 millions d’euros de pénalités à la société coopérative, pour des faits remontant à une période courant de 1997 à 1999. L’administration reprochait à son président de l’époque d’avoir minoré les déclarations de récolte dans certaines appellations, et d’avoir omis d’envoyer le surplus de raisins en distillation, une fois le plafond de rendement des parcelles AOC atteint. La cave coopérative a toujours plaidé l’erreur et réfuté la fraude intentionnelle. Les Douanes ont dix jours pour faire appel. www.vigneronsdebuxy.fr
La société SOCAMONT / T : 04.73.85.40.93 (siège à Montaigut-en-Combraille, 80 salariés) a été victime d’un incendie samedi matin. Les flammes ont ravagé un atelier de 400 m² au sein de cette entreprise qui recycle le caoutchouc, notamment les pneus Michelin, et les transforme en produits granulés destinés aux enrobés pour des pistes de sport ou des aires de jeux. Les conséquences économiques ne sont pas encore connues mais l’atelier détruit par le feu contenait l’une des machines les plus importantes de l’usine.
