La société DREAMGEST FRANCE (siège social à Saint-Yrieix/ Haute-Vienne) prévoit la construction d’un parc d’attraction à vocation musicale en 2019. Pour ce faire l’entreprise Dreamgest prévoit d’acheter un terrain de 135 hectares pour 800 000 euros. La construction du parc représenterait un investissement total de 35 millions d’euros. 

La société GOODMAN, spécialisée dans l’achat, le développement et la gestion d’entrepôts logistiques, a acheté il y a deux semaines le futur terrain du groupe AMAZON.FR / T : 01.46.17.10.00 à Boves, près d’Amiens, et a déjà obtenu la délivrance du permis de construire, les premiers aménagements ayant commencé en fin de semaine dernière. Le chantier de 27 hectares doit en effet se terminer pour septembre 2017, date à laquelle le groupe leader du commerce électronique va lancer son activité, et les travaux se font le plus rapidement possible, comme l’aménagement d’un rond-point pour l’accès des poids-lourds décidé en 48 heures, pour un coût de 1 million d’euros. Par ailleurs, cette implantation représente une grande opportunité pour le bassin d’emploi d’AMIENS METROPOLE / T : 03.22.97.40.40, Amazon ayant annoncé 500 recrutements en 3 ans. www.goodman.com   www.amazon.fr

L’association TERRE DE LIENS (siège à Crest) développe des actions dans le but de préserver les terres agricoles, de faciliter l’accès des paysans à la terre, et de développer l’agriculture biologique et paysanne. L’antenne normande, présente aux premières Rencontres normandes du mécénat pour l’agriculture, qui se tiennent à Rouen, fonctionnait auparavant sur la mobilisation de l’épargne citoyenne solidaire, puis sur les dons. Elle cherche aujourd’hui à développer le soutien de la part d’entreprises privées, comme des magasins de distribution de produits biologiques, ou encore de fondations d’entreprise, comme celle de la société LEGALLAIS BOUCHARD. www.terredeliens.org

La COMMUNE DE RIVES-EN-SEINE, commune nouvelle située à proximité de la COMMUNE DE CAUDEBEC-EN-CAUX / T : 02.35.95.90.13, cherche des solutions afin de dynamiser le commerce du centre-ville. L’Union Commerciale et Artisanale de la ville a souligné l’importance du petit-commerce et des clients, qui maintiennent le tissu économique et social,  ainsi que la nécessité pour les commerçants de chercher constamment à s’innover. Plusieurs réflexions sont ainsi actuellement menées par l’UCA dans le but de dynamiser l’activité des commerces locaux. www.caudebec-en-caux.com

Guy Gnemmi prend la direction du Réseau Ouest de LCL, à Nantes. Ce territoire comprend la direction de 5 antennes régionales de la banque. Le Réseau Ouest de LCL, c’est 192 agences bancaires répartis sur les régions Pays de la Loire, Bretagne, Normandie et Val-de-Loire. Guy Gnemmi prend la suite de Catherine Coroller qui vient de faire valoir ses droits à la retraite.

La société COVAGE / T : 01.49.17.10.36, spécialisée dans la construction de réseaux de fibre optique, devrait signer une convention avec la METROPOLE EUROPEENNE DE LILLE / T : 03.20.21.22.23, lors du prochain conseil métropolitain le 14 octobre. Cette délibération permettra à l’entreprise de construire un réseau en FTTH, fibre d’une puissance 100 fois supérieure à l’ADSL, dans treize villes de la Vallée de la Lys, ce qui représente un investissement de 40 millions d’euros. Covage remporte donc l’offre face à SFR, qui annonçait le début des travaux en 2016 pour une fin en 2020, alors que Covage prévoit de terminer l’aménagement en 2019. www.covage.com

La société VALOR’AISNE / T : 03.23.29.07.74 (siège à Barenton-Bugny), le syndicat pour la valorisation et le tri des déchets dans le département de l’Aisne, lance des pistes de réflexion pour améliorer ses services. Une des priorités est la réduction à la source des déchets organiques, notamment vis à vis des collectivités comme les hôpitaux et les collèges, et une tarification incitative ayant été mise en place dans certains secteurs a permis de baisser le volume de déchets de 30%. De plus, le tri doit être davantage valorisé, afin de maîtriser les coûts de traitement, et Valor’Aisne compte s’appuyer sur davantage de prévention afin de réduire le volume des déchets et de réduire l’enfouissement. www.valoraisne.fr

La COMMUNE DE LISIEUX / T : 02.31.48.40.40 voit la construction du multiplexe tant attendu dans la ville décalé, suite à la découverte de vestiges gallo-romains à l’emplacement prévu. La zone de la place de la République est en tout cas validée pour le chantier du complexe, mais un certain retard, d’au moins une année, serait à prévoir. En effet, INRAP / T : 01.40.08.80.00 a listé un gisement d’objets archéologiques important, et ce sont ainsi 500 000 euros qui s’ajoutent au budget global de 7 millions d’euros en raison de cet imprévu. Le futur multiplexe sera prévu pour accueillir 210 000 entrées chaque année, et représente un point important dans la redynamisation souhaitée du centre-ville de Lisieux, qui comprend également la construction d’une médiathèque d’un coût de 2 millions d’euros, qui sera financée par la LINTERCOM – COMMUNAUTE DE COMMUNES LISIEUX / T : 02.31.61.66.00. www.ville-lisieux.fr

La société ETABLISSEMENTS DECAYEUX / T : 08.25.00.34.80 (siège à Feuquières-en-Vimeu) est spécialisée dans la fabrication de boîtes aux lettres en métal. Installée depuis 1872 dans la Somme, l’entreprise lance son nouveau concept MyColisBox, qu’elle présentera au CES de Las Vegas, le rendez-vous international de la high tech. Cette boîte au lettre connectée, dont la commercialisation est prévue l’an prochain, permet d’envoyer des messages à un acheteur lorsque son colis est arrivé, et permet également de redéposer le colis si il doit être réexpédié au vendeur. Fruit de plusieurs mois de développement et d’un investissement de 600 000 euros, l’innovation de Decayeux permet d’obtenir une boîte connectée, parfaitement sécurisée, et avec une consommation électrique limitée. L’entreprise, qui réalise un chiffre d’affaires de 38 millions d’euros, dont 60% sur les particuliers, cherche à conquérir 20% du marché des boîtes individuelles d’ici cinq ans. www.decayeux.com

Aujourd’hui âgé de 59 ans, Jacques Régent a fondé SOFT-ENOV fin 2013, une société désormais implantée au sein de la Technopole d’Angers. Cet informaticien a développé un système infalsifiable, une étiquette qui pourrait s’apparenter à un code-barres mais beaucoup plus technologique. Certains codes inclus dans l’étiquette sont réalisés à l’aide de nanoparticules. Elle a l’avantage de suivre le produit, de faire sa publicité et, surtout, offre la garantie de lutter contre la contrefaçon. En effet "on ne peut pas l’enlever sans la dégrader, ni la copier. Elle est infalsifiable". L’entrepreneur, qui a investi avec sa famille 100 000 € dans le projet, souhaite désormais passer à la vitesse supérieur en engager une équipe commerciale, des informaticiens ainsi que des chefs de projets. www.soft-enov.com/