Quatre étudiants de l’école d’ingénieur de INSTITUT SUPERIEUR DE L’ELECTRONIQUE ET DU NUMERIQUE / T : 03.20.30.40.50 de Lille ont développé l’application Ulys, dont l’objectif est de simplifier la gestion des dépenses de groupe. Le projet est incubé au sein d’EURATECHNOLOGIES / T : 03.59.08.32.30 depuis janvier pour une période de six mois, et l’application prévoit plusieurs spécificités comme la possibilité d’utiliser l’outil hors ligne ou des notifications lorsqu’un membre du groupe fait de nouvelles dépenses.

La société ETABLISSEMENTS FAURE / T : 03.44.41.20.26 (siège à Lacroix Saint Ouen), est spécialisée dans la fabrication de fer à cheval. Dernière entreprise travaillant dans le domaine en France, elle a été fondée en 1910 et travaille aujourd’hui dans un marché de niche, les maréchaux-ferrants, ses principaux clients, n’étant plus qu’au nombre de 1500. Faure, qui s’est tournée vers la distribution dans les années 2000, propose plus de 5000 références de fers à cheval, grâce à 80 fournisseurs. L’entreprise, qui emploie 12 salariés, connait une forte croissance à deux chiffres ces dernières années. www.fers-faure.com 

La société TOTAL RAFFINERIE DE NORMANDIE / T : 02.35.53.35.57, située aux portes du Havre, traite 12 millions de tonnes de brut et 500 000 tonnes de matières plastiques chaque année. A la suite d’une longue étude menée en 2015 auprès de représentants des autorités et d’entreprises, il en est ressorti qu’une communication de crise plus rapide en cas d’incident est attendue de la part du groupe. Un groupe de travail est ainsi en cours d’élaboration sur le site qui regroupe plus de 1600 CDI, et il visera à améliorer la coordination et la communication.

Après une première ouverture à Besançon/25, la société franc-comtoise SPA AUTO (siège à Besançon) se développe en ouvrant un nouveau centre de lavage auto à Pontarlier/25 ce mois de mars 2017. Les techniques de lavage sont spécifiquement adaptées au climat local et toujours avec des produits 100% écologiques et biodégradables. Rappelons que SPA Auto développe un concept unique en France, puisque l’entreprise équipe ses stations d’un tunnel de lavage qui bichonne les véhicules jusque dans les moindres détails, qui plus est d’une manière écologique. www.spa-auto.fr 

A la pointe de l’usine 4.0, l’usine SIEMENS PRODUCTION AUTOMATISATION du groupe SIEMENS / T : 01.49.22.31.00 de Hauguenau (Bas-Rhin), va enfin se lancer dans la fabrication additive, non pas pour du prototypage, mais pour des petites séries de 300 à 500 composants d’analyseurs de gaz. Le tout afin de gagner en flexibilité et de réduire les coûts de stockage. Pour livrer plus vite, le site va aussi déployer d’autres outils Siemens (LMS, Preactor) permettant de simuler les capacités de production disponibles et de gérer la planification des plans de fabrication. www.siemens.com/fr/fr/home.html 

La société DCX CHROME (siège à Marly), appartenant au groupe DELACHAUX S.A. / T : 01.46.88.15.00, est spécialisée dans la production de chrome métal. Leader mondial dans le domaine et exportant 90% du chrome métal, le site de Marly connaît une grève d’un tiers de ses effectifs depuis vendredi, réclamant une augmentation mensuelle de 50 euros brut. L’entreprise a connu une augmentation de son bénéfice de 17% en 2016, et les premières négociations ont abouti à un refus de la direction. www.delachaux.fr

La société LA BROSSE ET DUPONT / T : 03.44.02.78.00 (siège à Hermes), spécialisée dans la gestion de linéaire, a repris l’activité après quatre jours de grève. Un débrayage avait lieu en raison de l’échec des négociations commerciales annuelles, suivi par une vingtaine des 150 salariés suite à l’appel de la CGT. Les syndicats et salariés ne sont cependant pas parvenus à obtenir ce qu’ils souhaitaient, la direction n’ayant proposé que 18 euros d’augmentation. www.lbd.fr 

LEVISYS / T : 03.25.43.02.86 (siège à Rosières-près-Troyes/10), le fabricant de volants d’inertie à sustentation magnétique, vient de conclure la première vente de son produit, transformé un protocole de coopération avec le chinois BYD en accord de distribution, et fondé une association avec sept autres start-up de l’énergie. C’est à Gyé-sur-Seine (Aube) que sera installé cette année le tout premier appareil, sur le site de la société CARBONEX / T : 03.25.38.21.04. Bien connu des adeptes du barbecue (la marque Soler), ce producteur de charbon de bois évolue vers la génération électricité à partir de biogaz, lui-même issu des charbons. Carbonex a construit à cette fin une centrale de 3,3 MW. Mais les vapeurs de carbonisation subissent des variations rapides et aléatoires, ce que n’aime pas le réseau. Carbonex a donc choisi d’équiper sa centrale d’une solution de stockage capable de réagir vite. Le volant d’inertie de 40 kW du voisin Levisys, basé à côté de Troyes, devra jouer ce rôle. www.carbonex.fr 

La société GAIATREND / T : 03.87.02.85.67 (siège à Rohrbach-lès-Bitche/57), spécialisée dans la production de liquides pour cigarettes électroniques, leader sur le marché français, devient le premier employeur privé du Pays de Bitche avec 140 salariés. En 10 ans, l’entreprise est passée de 4 à 140 salariés, dont plusieurs ingénieurs, et des dizaines de techniciens. Aujourd’hui, le catalogue de la société compte une centaine d’arômes, vendus à 95% sur le marché français. Gaïatrend n’est plus le seul fabricant français, mais il tient à conserver sa production à Rohrbach les Bitche, pour en assurer la qualité et la traçabilité. www.gaiatrend.fr/fr/home 

L’entreprise familiale des montres PIERRE LANNIER / T : 03.88.70.39.39 (siège à Ernoslheim-les-Saverne/67) a réalisé en 2016 un CA record de 16,5 M€, en hausse de 10% et de 40% à l’export. Le résultat net d’exploitation atteint 3%. Pierre Burgun, qui dirige depuis 2004 le « créateur français de montres » ambitionne de doubler le CA de l’entreprise et de faire grimper la part des ventes à l’étranger de 20 à 50 %, à un horizon de 5 ans. Pour ses 40 ans, la société s’est offerte début 2017 un site d’e-commerce pour booster ses ventes. Ses objectifs de croissance s’appuient sur une politique marketing bien rodée. L’entreprise alsacienne est très active sur les réseaux sociaux et investit 1,2 M€ par an dans la communication pour asseoir la notoriété de la marque. www.pierre-lannier.fr