La société BASIS ELECTRONIQUE DE PUISSANCE (siège à Saint-Quentin), est spécialisée dans les systèmes de conversion d’énergie. Alors qu’elle appartenait au groupe BROCHOT / T : 03.21.69.50.48, l’entreprise a été rachetée par ses salariés et des partenaires en 2015, et elle a repris dernièrement l’activité haute-tension de la société parisienne EUROFEEDBACK / T : 01.60.86.31.10, pour un montant évalué à 450 000 euros. Afin de l’aider dans cette opération et son développement, le Conseil régional des Hauts-de-France vient de lui octroyer un prêt à taux zéro de 150 000 euros sur 5 ans, et Basis prévoit d’embaucher entre 4 et 6 personnes d’ici fin 2018. L’entreprise travaille notamment avec le groupe THALES / T : 01.57.77.80.00 et l’armée française, et son objectif est d’atteindre 10 millions d’euros de chiffre d’affaires d’ici 3 ans. www.basis-ep.com 

Le Premier Ministre vient de réaffirmer la volonté de l’Etat de commencer les travaux du canal Seine Nord au début de l’année 2017. Il s’agit de construire une voie navigable à grand gabarit, pour un investissement avoisinant 4,5 milliards d’euros, financé à hauteur de 1,8 milliards d’euros par l’Europe, à 1 milliard par l’Etat, 1 milliard par les collectivités et par 700 millions d’euros d’emprunt. Cette infrastructure permettra de relier les bassins de la Seine et de l’Oise au réseau européen du Nord de l’Europe, sur une longueur de 107 kilomètres, et pour une mise en fonctionnement à partir de 2023.

La société LA BROSSERIE FRANCAISE / T : 09.60.38.47.66 (siège à Beauvais), est spécialisée dans la fabrication d’une brosse à dent 100% française, Bioseptyl. Créée il y a plus de 40 ans, l’entreprise a été relancée il y a 4 ans, et a décidé de relancer la production d’une brosse à cheveux made in France, nommée Traçia. Il s’agit d’une brosse fabriquée à partir de manches de qualité en bois et de poils créés à partir de soie de sanglier sans mélange, et la commercialisation vient de débuter, pour un prix compris entre 90 et 150 euros. L’usine est en train de produire entre 7 000 et 10 000 exemplaires de la brosse, déjà disponibles dans trois points de vente à Paris. www.bioseptyl.fr

Le centre commercial Jeu de Paume, situé dans la COMMUNE DE BEAUVAIS / T : 03.44.79.40.10, a ouvert il y a maintenant un an. Rassemblant 70 boutiques et entre 350 et 450 salariés, il est dirigé par la société HAMMERSON / T : 01.56.69.30.00, et vise 100 millions d’euros de chiffre d’affaires annuel, alors qu’il est de 34 millions pour cette année. Malgré la fermeture de 3 boutiques, le centre explique qu’il est victime d’une conjoncture difficile, mais que d’autres ouvertures sont à prévoir prochainement, avec un restaurant et un magasin de prêt à porter. Dans le but de dynamiser l’activité du lieu, et afin d’attirer la clientèle, des animations et des promotions sont prévues pour le weekend du 25 novembre. www.lejeudepaume.com

La société FLUNCH / T : 03.20.43.59.59 (siège à Villeneuve-d’Ascq), chaîne de restauration française en libre-service, a annoncé que l’enseigne située entre Albert et Méaulte allait fermer dans quelques semaines. Ouvert il y a trois ans et demi, le restaurant installé dans la zone de Bellevue devrait cesser son activité le 31 décembre, et la vingtaine de salariés ont été informés. A son ouverture, le restaurant tablait sur 500 couverts quotidiens, et la fermeture du Lidl situé à proximité a peut être joué dans le départ de l’enseigne. www.flunch.fr

La COMMUNE DE BEAUVAIS / T : 03.44.79.40.10 entame la seconde phase du programme de rénovation urbaine du quartier Argentine, et les élus du conseil municipal ont demandé les financements de 4 projets. Il s’agit d’abord de l’aménagement des abords du centre commercial du Berry, pour un montant de 560 000 euros, de la création d’un pôle de loisirs autour de l’espace Morvan, pour un peu moins de 500 000 euros, de la requalification du secteur Léonidas Gourdain, ainsi que de la création d’un centre chorégraphique à la place de l’ancienne piscine.

La société TRANSPORTS BLONDEL / T : 03.23.07.21.96 (siège à Crépy-en-Valois), spécialisée dans le transport et la logistique, a annoncé qu’elle comptait renouveler 18 de ses 30 véhicules en faisant l’acquisition de camions motorisés au gaz naturel. Cette décision vise à répondre aux demandes son client CARREFOUR / T : 01.41.04.26.00, qui représente 80% de son temps de travail, et un investissement de près de 3 millions d’euros. En conséquence, une station multi-énergies dédiée au transport routier de marchandises devrait ouvrir en mars 2017 sur un des terrains de l’entreprise Blondel, qui sera gérée par la société AIR LIQUIDE / T : 01.40.62.55.55.

La société NOYON CARS / T : 03.44.44.06.92 (siège à Noyon), qui gère trois lignes des transports urbains de la ville de Noyon, envisage l’achat d’un véhicule 100% électrique. La Ville s’apprête à lancer un nouvel appel d’offres auprès des sociétés de transports, le contrat actuel prenant fin l’an prochain, et Noyon Cars avait déjà commencé sa diminution des émissions de CO2 dès 2013. Par ailleurs, elle a formé ses 20 conducteurs à la conduite écologique, permettant de réduire la consommation de 4 à 10% selon les véhicules. www.noyon-cars.com

L’Office de Tourisme de la COMMUNE DE SAINT QUENTIN développe depuis plusieurs années l’utilisation d’audioguides, afin de permettre aux touristes de visiter la ville avec des indications sonores pour les monuments importants. Depuis plusieurs mois, plusieurs partenaires ont travaillé sur une version audioguide spécialisée pour la basilique, qui représente une heure de visite au total, décomposée en 7 points importants. L’investissement est de 14 000 euros, pour une location de l’outil à deux euros, alors que le lieu accueille chaque année 5000 groupes et 1000 visiteurs individuels.

Les élus de l’agglomération de la COMMUNE DE BEAUVAIS / T : 03.44.79.40.10 ont pris note de la nouvelle facture concernant la construction du théâtre. Le coût est ainsi passé en moins d’un an de 18 millions d’euros à 21 millions d’euros, et alors qu’un premier surcoût de 1,5 millions d’euros avait été validé, une seconde tranche de 1,5 millions d’euros est à prévoir pour l’aménagement des abords et le rachat du site Profil, ce qui fait monter la facture totale à 24 millions d’euros. Plusieurs élus ont critiqué le coût du projet, l’Agglomération versant 8 millions d’euros, et la Région 3 millions d’euros.