Le fabricant de liqueurs et sirops GIFFARD / T : 02.41.18.85.00, dont le siège social est à Avrillé, a été fondé en 1885. Giffard dévoile que sa nouvelle usine, à Saint-Léger-des-Bois, sera opérationnelle et qu’elle ouvrira en janvier 2017. L’aménagement du site de 7 000m², dont le futur grand jardin construit en l’honneur de l’histoire de l’entreprise familiale, a représenté une enveloppe de 11 M€ pour Giffard. Son siège social demeurera à Avrillé. Giffard a cloturé son exercice 2015 sur un chiffre d’affaires de 21,1 M€ en croissance de +6,9 % par rapport à l’exercice précédent. www.giffard.com

Sur les douze derniers mois, la part des vins AOP (Appellation d’Origine Protégée) du Val de Loire est en hausse sur le marché de l’export. Ce type de vins a rencontré une hausse de 4 % en volume (+180 000 hL) de ses exportations par rapport à la période précédente. En valeur, cette progression est de +8 %, soit +18,4 M€. Le muscadet est le moteur principal de cette progression : +3,9 M€ pour +14 700 hL. Aujourd’hui, le Royaume-Uni est le principal client en volume alors que les Etats-Unis prennent la première position sur le marché d’export en valeur. Source : INTERLOIRE TOURS / T : 02.47.60.55.00 www.vinsvaldeloire.fr/

Le groupe de menuiserie spécialiste de production de portes d’entrée et de fenêtres CETIH / T : 02.40.78.57.55, dont le siège social est à Machecoul a clos son exercice 2015 sur un chiffre d’affaires de 125 M€. Ainsi, sa croissance est supérieure à +10 %. François Guérin, le dirigeant du groupe qui emploie 950 personnes à travers 6 sites industriels spécialisés, souhaite développer son activité à l’international. L’export n’est pas la seule option abordée : François Fuérin évoque des acquisitions. La raison de cette nouvelle politique repose sur la globalisation des marchés, y compris dans l’artisanat. Auparavant, ce type d’activité était local. Il est devenu national pour devenir "bientôt international". www.cetih.eu/

L’entreprise sociale RECYCLIVRE a ouvert au mois de juin 2016 à Nantes. Cette dernière offre un service gratuit de collecte de livres d’occasions. Avec un emploi du temps bien plein depuis son implantation à Nantes, Recyclivre n’avait pas eu l’occasion d’inaugurer ses locaux. La direction a finalement décidé de fêter cette installation à Nantes le jeudi 13 octobre 2016 à partir de 18h30, dans ses locaux situés au 9, rue Nicolas Appert. La SOCIETE, ORIGINAIRE DE PARIS, a déjà développé des antennes locales à Lille et Lyon. www.recyclivre.com/

La startup nantaise SPEACHME annonce avoir réalisé une levée de fonds de 2,2 M€ auprès du fonds parisien ALVEN CAPITAL. SpeachMe est une plateforme de partage de vidéos de savoirs et de ‘savoir-faire’ fondée en 2012. La société commercialise également une solution matérielle couplée à un logiciel permettant de se filmer en train d’effectuer des gestes techniques. Ces vidéos peuvent être diffusées sur la plateforme. Aujourd’hui, SpeachMe revendique 500 000 utilisateurs à travers le monde. Cette levée de fonds a permis à la jeune société d’installer un bureau à Austin, au Texas : huit salariés y sont implantés. SpeachMe est dirigée par Najette Fellache, sa fondatrice âgée de 37 ans. Elle s’appuie actuellement sur une quarantaine de salariés. D’ici fin 2017, la startup espère une centaine de collaborateurs à l’international. www.speach.me/

Spécialisée dans la transformation des matières plastiques (chaudronnerie), leur découpe par commande numérique et leur usinage, la société AVENPLAST / T : 02.43.88.79.83 vient d’annoncer avoir investi 1,1 M€ dans l’érection d’un nouveau bâtiment, toujours localisé à Roëzë-sur-Sarthe. Le siège social de l’industriel y est déjà localisé. Avenplast affichait un CA de 833,5 k€ sur son exercice 2015. Ce nouveau bâtiment devrait entraîner une hausse de son activité. www.decoupe-plastique.fr/

LEDPOWER / T : 02.43.63.39.71 (siège social à Saint-Calais/ Sarthe, 25 salariés), première marque d’éclairage à LED française développe, fabrique et commercialise ses produits d’éclairage à économie d’énergie électrique via la technologie LED. Le tribunal de commerce du Mans a placé ce mardi 20 septembre, Ledpower en liquidation judiciaire, avec une période de continuation d’un mois. La direction cherche un éventuel repreneur.  www.ledpowerfrance.fr  

La société RABAUD / T : 02.51.62.14.13 (siège social à Sainte-Cécile/ Vendée, CA 30 millions d’euros, 200 salariés) est spécialisée dans la fabrication et commercialisation d’engins pour une multitude de secteurs: BTP, agricole, engins forestiers … La société construit actuellement un nouveau bâtiment de 2 100 m² sur son site de production qui compte déjà 20 000 m² de constructions. Ce nouveau bâtiment représente un investissement de 2,5 millions d’euros.  www.rabaud.com  

A sa création dans les années 1990, la société vendéenne TITOK PRODUCTION / T : 02.51.32.99.29 concevait et revendait du fonds de veau déshydraté. Le moins que l’on puisse dire, c’est que sa gamme de produits et sa clientèle se sont largement élargies. Basée à Olonne sur Mer, la société a en effet décroché un contrat de 1,7 M€ avec l’armée française. Titok fournissait déjà l’armée britannique en soupe déshydratée. Titok remporte six lots, sur onze plat ouverts à la concurrence par l’armée. Titok réalise 60 % de son CA (CA 2014 de 4,7 M€) auprès de la restauration collective. Dans les projets à très court terme : séduire le marché norvégien. www.titok.fr/

La situation ne semble pas s’arranger pour l’entreprise SOTIRA / T : 02.43.64.64.64, basée à Meslay-du-Maine. En juin dernier, nous évoquions une potentielle reprise par le dirigeant de MONT BLANC COMPOSITE / T : 04.79.69.92.09, société savoyarde basée à Chambéry. Néanmoins, la transaction ne s’est pas effectuée. La société mayennaise Sotira rencontre des difficultés et ses actionnaires n’ont de cesse de recherche un repreneur. Alain Delépine, délégué FO de l’entreprise craint une fermeture de l’usine si elle n’est pas reprise. De son côté, son p-DG Jean-Py affirme qu’"il y a des candidats à la reprise". Si le dossier de reprise par le dirigeant de Mont Blanc Composite n’a pas été validé, c’est car "il voulait licencier 35 personnes". Sotira emploie actuellement 150 personnes et la société "n’a pas de dette auprès des banques. Nous avons des marchés et on assure un treizième mois aux salariés". www.sotira.fr/