La CCI International Lorraine, une émanation de la CHAMBRE DE COMMERCE ET D’INDUSTRIE DE LORRAINE / T : 03.83.90.13.13 (siège à Nancy/54), organise une mission de prospection au Canada, à Montréal, du 14 au 18/11/2016, en partenariat avec la Chambre de Commerce et d’Industrie Française au Canada. Le voyage d’affaires est accessible aux PME et prévoit notamment un programme de rendez-vous 100% sur mesure avec un cocktail networking avec le soutien du groupe Total. Clôture des inscriptions le 23/09/2016. La CCI international propose également aux entreprises intéressées un pré-diagnostic validant leur potentiel marché au Canada. www.lorraine.cci.fr 

L’enseigne de restauration rapide STARBUCKS COFFEE / T : 01.44.76.72.00 va s’implanter dans le centre-ville de Nancy/54 d’ici à la fin d’année. Selon les informations du média Loractu.fr, l’enseigne serait située rue Saint-Georges à la place de l’enseigne de vêtements et de mode Mexx qui accueille actuellement une boutique éphémère. Le groupe BK qui développe la marque mondiale Domino’s Pizza sur le territoire français ainsi que la marque nationale Resto Sushi’s avait annoncé la venue dans le Grand-est (Alsace, Franche Comté et Lorraine) de la marque Starbucks Coffee, confirmant l’ouverture de 10 points de vente sur ces 3 régions d’ici 3 ans. 3 d’abord en Alsace à Strasbourg, à Colmar et à Mulhouse. Le groupe a donc maintenant la Lorraine dans son viseur. C’est Kamel Boulhadid, à la tête d’un groupe de restauration qui a la charge de développer la franchise Starbucks dans le Grand-est. www.starbucks.fr 

Le Groupe DODO / T : 03.87.91.16.16 (siège à Saint-Avold/57, CA 2013/2014 : 91 M€, 600 salariés, 5 sites en France), le spécialiste de la couette, entre sur le marché du sous-vêtement et commercialise en grandes surfaces une nouvelle gamme de sous-vêtements « thermiques » (teeshirts, débardeurs, leggings écru ou noir), pour femmes et hommes. De quoi attaquer frontalement le leader du marché, Damart, même si la technologie est différente. Dodo, fondé en 1937, propose des articles double face (coton-laine), tricotés sans couture pour plus de confort. Le style et les préséries sont assurés par la société CTM STYLE / T : 04.78.98.99.60 (siège à Caluire/69). Pour le groupe mosellan, le lancement de ces nouveaux produits s’inscrit dans la démarche de diversification engagée depuis 2005 avec la prise de contrôle des Textiles Lasson dans le Nord, qui fabriquent des protections de literie et du linge de lit uni. www.dodo.fr / www.ctmstyle.fr 

La COMMUNE DE LUNEVILLE / T : 03.83.76.23.00 (Meurthe-et-Moselle) qui mène cette année d’importants travaux pour réaménager son centre-ville, a signé cet été une convention tripartite « démonstrateur redynamisation de centre ancien » qui l’associe depuis mi-juillet avec la communauté de communes du Lunévillois, la CAISSE DES DEPOTS ET CONSIGNATIONS / T : 01.58.50.00.00 et la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Lunéville, qui regroupe en centre-ville 1.800 logements datant de plus d’1 siècle pour les 3/4 d’entre eux, entend poursuivre son projet « Cœur de ville » englobant la rénovation de l’habitat, l’aménagement de l’espace public, la relance du commerce et le renforcement du développement touristique. La collectivité pourra donc solliciter la Caisse des dépôts tant dans l’ingénierie de ces projets, que dans leur financement à moyen et long terme. Elle constitue, après Cahors (Lot), la 2ème ville de métropole à bénéficier de ce dispositif d’une durée de 2 ans. www.luneville.fr / www.caissedesdepots.fr 

La société GALLET EQUIPEMENTS INDUSTRIELS / T : 03.87.74.51.90 (siège à Bouzonville/57, 8 salariés) spécialiste des composants et accessoires de cuves de process et stockages destinés aux industries – pharmacie, cosmétiques et agroalimentaires – vient d’investir dans 2 centres d’usinage à commande numérique. Ces machines de dernière génération permettent de réaliser des opérations de fraisage, perçage et taraudage. Ces centres ultramodernes de marque Lagun sont de fabrication européenne. L’investissement est rendu nécessaire car le carnet de commandes est plein, l’activité soutenue avec une croissance de 14 % et un CA en progression de 2,3 M€. Le produit phare de la société est une trappe à pression de la marque Allemande Zimmerlin que Gallet distribue. Il s’agit d’une cuve en acier inoxydable utilisée par les laboratoires pour faire de la prise d’échantillons et dont le hublot provient des ateliers Bouzonvillois. www.gallet-industrie.fr 

La start-up RELINK (raison sociale : Atlabs, siège à Gondreville/54), hébergée dans la PaPinière de Gondreville, et qui développe un support d’aide-mémoire numérique pour les personnes concernées par les troubles de mémoire (Alzheimer) a lancé cet été son produit en offrant 2 mois d’essai gratuit aux premiers inscrits. L’aide-mémoire développée par la jeune pousse a pour objectif de soulager les aidants familiaux. Relink est un appareil connecté placé au domicile de la personne présentant des troubles de la mémoire. L’écran affiche l’heure, la date et la période de la journée afin d’assurer l’orientation temporelle de la personne. Bien plus qu’une horloge, l’appareil permet également de programmer des rappels. Le produit est maintenant disponible à la location, sans engagement. www.relinkdevice.com/fr 

Le Mémorial de Verdun géré par le COMITE DU MEMORIAL DE VERDUN / T : 03.29.84.35.34 (siège à Fleury-devant-Douamont/55) fait appel aux services du RESEAU CANOPE / T : 05.49.49.78.78 (siège à Chasseneuil-du-Poitou/86), un réseau de création de ressources pédagogiques, pour développer une application destinée au public enfant. Une trentaine de tablettes sera ainsi mise à disposition des enfants en visite scolaire. Pour financer ce projet, le musée a lancé une campagne de crowdfunding sur le site Agoradon. Depuis sa réouverture en février 2016, le mémorial de Verdun a enregistré plus de 120.000 visiteurs. www.memorial-verdun.fr / www.reseau-canope.fr 

L’unité de production de biogaz du groupe papetier norvégien NORSKE SKOG / T : 03.29.68.68.68 à Golbey (Vosges), dont la 1ère pierre vient d’être posée, entrera en activité dans le courant du dernier trimestre 2017. Elle aura une capacité de 17.000 MWh/an issus de la valorisation des effluents de la station d’épuration de la papeterie. Le groupe norvégien investit 7,1 M€ dans l’affaire. Pour rappel, la papeterie Norske Skog (Norvège) s’associe à la société BIOMETHODES / T : 01.60.91.21.21 (siège à Evry/91). En outre, en partenariat justement avec la société Biométhodes, le papetier projette la construction d’une bioraffinerie qui transformera la biomasse non alimentaire issue du procédé industriel de Norske Skog en glucose, pentose et lignine. Objectif : produire des biocarburants ou des bioplastiques. 1 investissement de l’ordre de 50 M€, générateur d’une quarantaine d’emplois, qui pourrait être opérationnel fin 2018. 1er investissement du groupe papetier hors de la Norvège, l’usine Norske Skog Golbey produit 600.000 t de papier journal à partir de vieux papiers par an. www.norskeskog-golbey.com / www.biomethodes.com 

En redressement judiciaire depuis janvier dernier, la société spécialisée dans la production de carters d’huile pour l’industrie automobile, FVM TECHNOLOGIES / T : 03.82.44.85.00 (siège à Villers-la-Montagne, CA : 49.131 K€, 210 salariés), appartenant au groupe ARCHE INDUSTRIES / T : 01.56.60.28.60, annonce avoir recours au chômage partiel pour une dizaine de ses salariés pour 1 semaine. L’entreprise affronte 2 problèmes qui pénalise son activité. À savoir, selon les syndicats FO et CGT du site : une baisse passagère de commandes sur l’une des références de l’usine et un manque de conteneurs indispensables à l’expédition des pièces produites. 2 comités d’entreprise extraordinaires ont bien eu lieu mais ils n’ont toutefois pas permis de trouver de solution pour assurer un retour à la normale au plus vite. www.cgt.fr / www.groupearche.com 

La société ASCOMETAL / T : 03.87.70.51.21, leader français des aciers longs spéciaux vient d’annoncer un investissement de 10 M€ sur le site industriel d’Hagondange/57. L’investissement sur le site mosellan a pour but de lui permettre de poursuivre sa production de barres de petites sections pour l’automobile. Selon les informations du Journal Les Echos, Ascométal planifie une vaste restructuration de ses différents sites français qui vise, à la fois à abaisser ses coûts, et à investir 100 M€ sur son activité sidérurgique et 700 M€ sur une nouvelle technologie, l’hydrogène, financés avec des partenaires extérieurs. L’entreprise est dans une situation fragile. Elle doit à la fois encaisser la dégringolade des activités pétrolières, mais aussi la concurrence des aciers russe et chinois, qui pèsent notamment sur son activité mécanique. www.ascometal.com