DECHETS : les syndicats démentent des violences à Marseille
Samedi 21 octobre, la société DERICHEBOURG / T : 01.44.75.40.40 (siège social à Paris 12e, CA 2,1 milliards d’euros, 34.000 salariés) avait publié un communiqué dénonçant les violences et les menaces des 200 éboueurs grévistes employés par l’entreprise de nettoyage et qui paralysent Marseille depuis deux semaines. Kamel Djeffel, secrétaire national de la Confédération autonome du travail, porte-parole des grévistes, récuse ces accusations : "C’est regrettable, on va dire qu’il s’agit d’une maladresse de communication. Samedi soir à 22H00 nous avons pris l’engagement de ne pas bloquer les intérimaires qui font le travail des grévistes" explique le syndicaliste à FRANCE 3 / T : 04.91.23.45.00 et ajoute que les salariés "font preuve de bonne foi en laissant les intérimaires ramasser les ordures alors que c’est illégal, c’est un délit d’entrave à la grève". www.derichebourg.com